Quelle période nous vivons, n’est-ce pas ?

Nous naviguons dans l’inconnu et l’incertitude sur une mer brassée par un vigoureux coronavirus ! En plus, et probablement heureusement, nous ne sommes pas au gouvernail ? Nous avons la chance d’avoir un capitaine rassurant, épaulé par un équipage fiable et dévoué !

J’ai voulu ce bref message optimiste et encourageant. Car jusqu’à maintenant, ça va quand même bien. Je n’ai pas de nouvelles de chacune et chacun des membres, de tous les membres, mais je n’ai pas eu connaissance que l’une ou l’autre de notre groupe ait été attrapé par ce malin virus. Avez-vous remarqué : alors que nous disons couramment qu’on « attrape la grippe », dans le cas de ce virus on a plutôt l’impression que c’est lui qui nous cherche et nous attrape ! Signe que nous sommes bien disciplinés, bien cachés, il n’a encore trouvé aucune et aucun de nous ! Nous aurons le dessus et nous passerons à travers !

Je ne sais pas quand nous nous reverrons. Je ne sais pas non plus quand ni comment seront les retrouvailles et l’accueil des nouvelles et nouveaux membres. Mais je sais que ça viendra ! Au cours des jours qui viennent, les membres du Conseil envisageront quelques possibilités et probabilités. Tout en étant toutes et tous conscients que nous sommes passagers sur le navire et que la mer est encore bien brumeuse !

En terminant, je vous redis encore une fois que j’ai bien hâte de vous revoir. En attendant, n’hésitez pas à me donner  de vos nouvelles… de vous ou de d’autres !

Amicalement,

François